samedi 17 avril 2010

"Le rapport de Brodeck", P. Claudel


"Les sentiers sont comme les hommes, ils meurent aussi. Peu à peu ils se comblent, se morcellent, se laissent manger par les herbes puis disparaissent. Et il ne faut que peu d'années pour qu'on n'en distingue plus guère que l'échine et que la plupart des êtres finissent par les oublier".

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire